Sputniko cultive sa double culture britannique et nippone et est DJ / artiste /professeur... Elle a étudié les mathématiques et le design. Selon elle, les arts permettent à la pensée scientifique d’être plus communicative et de pouvoir rayonner auprès du plus grand nombre.
En 2011, elle a exposé son
travail au MoMA avec
une installation provocatrice : une machine à menstruation.
« On fait aujourd’hui des choses incroyables avec la technologie :
on a marché sur la lune, on peut discuter avec quelqu’un à l’autre bout
du monde et faire de la recherche en génétique. Pourtant, les femmes
doivent toujours saigner tous les mois, ce qui signifie pour beaucoup
souffrir tous les mois. »
Quand elle ne bricole pas des machines de simulation menstruelle, ce sont des films futuristes : « Moonwalk », par exemple, met en scène une jeune fille qui se rend sur la lune. Virtuellement, bien sûr. Car même si l’homme a marché sur la lune il y a maintenant plus de 50 ans, la femme n’en a jamais eu l’occasion.
« Pourquoi est-ce qu’il n’y a pas plus de femmes astronautes ? Je pense qu’il devrait y avoir de vraies traces de pas de femmes sur la lune depuis longtemps!»
Quand elle ne bricole pas des machines de simulation menstruelle, ce sont des films futuristes : « Moonwalk », par exemple, met en scène une jeune fille qui se rend sur la lune. Virtuellement, bien sûr. Car même si l’homme a marché sur la lune il y a maintenant plus de 50 ans, la femme n’en a jamais eu l’occasion.
« Pourquoi est-ce qu’il n’y a pas plus de femmes astronautes ? Je pense qu’il devrait y avoir de vraies traces de pas de femmes sur la lune depuis longtemps!»
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